Le Colonel fait appeler l'adjudant de semaine :
- Adjudant Moujard !
- Vos ordres mon Colonel !
- Dites-moi, Moujard, la mère du soldat Dupommier est décédée ce matin. Je vous ai fait appeler pour que vous lui annonciez la nouvelle avec tact. Dupommier est un garçon sensible, et il faut le ménager.
L'adjudant sort du bureau du Colonel et fait sonner le rassemblement.
Une fois devant la compagnie rassemblée, il vocifère :
- Ceux dont la mère est morte, un pas en avant !
Personne ne bouge.
- Bordel de merde ! Dupommier, vous m'frez quinze jours de trou pour non obéissance aux ordres.
C'est un pénis qui dit à ses couilles :
- Hey, les gars ce soir on est invités dans une fête!
- Gros menteur !!!!
- Pourquoi vous dites ça ?
- Parce qu'à chaque fois que tu nous invites à une fête, t'es toujours le seul à rentrer et on reste toujours devant la porte, à frapper comme des cons !!
Ça se passe pendant la révolution française. Trois prisonniers un français, un suisse, et un belge ont été jugés coupables de crimes abominables. Ce qui leur vaut à tous les trois la peine de mort. Le jour de l'exécution ils s'avancent chacun leur tour devant la guillotine où ils seront décapités. Le français est le premier à s'avancer...
- Rien à déclarer?...demande le bourreau
- Non...Répond le français de toute sa hauteur...Dieu fera un miracle pour me
sauver car il sait que je suis innocent.
Le Bourreau, qui en a entendu d'autres, lui passe la tête dans la guillotine...abaisse le levier et Oh!! miracle le couperet s'arrête à deux centimètres du cou du condamné. Étant donné qu'il s'agit d'un événement extraordinaire...ce dernier est gracié.
Vient le tour du suisse, même question du bourreau:
- Rien à déclarer?
- Non...répond celui-ci...car je sais que pour moi aussi Dieu fera un miracle.
Le bourreau, qui commence sérieusement à douter de son choix de carrière lui glisse la tête dans la guillotine....abaisse le levier...et le même scénario se produit...le couperet stoppe net à deux centimètres du cou du condamné...et a l'exemple du précédent, celui-ci est aussi gracié.
S'avance enfin le belge...
- Rien à déclarer? lui demande le bourreau qui trouvait que sa journée allait vraiment mal.
- Et bien oui...répond le belge...Je voulais juste vous dire qu'il y a un gros nœud dans la corde qui retient votre gros couperet...